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histoire gay

Dimanche 2 janvier 7 02 /01 /Jan 15:30
Par alex35 - Publié dans : histoire gay
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Jeudi 24 juin 4 24 /06 /Juin 09:40

Je commence à lire les histoires d’Alex. Il raconte une histoire d’un inspecteur qui recherche son passé et qui enquête sur le meurtre très politique. Il faut que je trouve tous les informations sur lui. Je hurle numéro 5.

 

-          Vous voulez quoi Franck ?

-          Je veux que tu trouves Alex35.

-          Sa va être dur.

-          Je m’en fou. Je le veux pour cette après midi.

-          Bien monsieur.

 

Il sort de mon bureau. Je hurle numéro 6.

 

-          Vous voulez quoi Franck ?

-          Je veux tous savoir sur la victime numéro 1 et 2.

-          Pour quand ?

-          Pour la veille. Dépêche-toi.

-          Bien Franck.

 

Il sort du bureau et je hurle numéro 12.

 

-          Vous voulez quoi Franck ?

-          Devine ?

-          Tout savoir sur la victime 3 et sur son mec.

-          Tu as tous compris.

 

Elle sort du bureau. Mon assistant rentre en trombe dans mon bureau.

 

-          Tu as quoi la ?

-          J’ai eu un coup de téléphone du ministre de l’intérieur.

-          Oui et alors ?

-          Il veut reprendre l’affaire si je n’ai pas de résultat avant deux semaines.

-          Et c’est pour sa que tu t’énerve ?

-          Tu sais bien que je suis sur un siège éjectable. Si je ne trouve pas le coupable, je serai renvoyé.

-          Tu crois qu’ils vont te virer.

-          Ils ne vont pas se gêner.

-          On va s’activer alors.

 

Mon assistant sort de mon bureau. Je me concentre sur la position du corps et de la symbolisation. Je remarque une chose surprenante. Il n’y a aucune trace de sang. Je regarde le rapport du légiste. On a vidé le corps de tout son sang. Il fait quoi du sang après ? Je patauge et je n’aime pas sa. Il faut que je raisonne comme lui. Je décide de partir chez la victime.

 

J’arrive dans l’appartement de la victime numéro 3. Je suis dans l’entré. Je vais prendre le rôle du tueur. Je sonne chez ma victime. Je suis existé mais je me calme. Je dois rester calme et poser. Il faut que je respecte mon scénario. Ma victime m’ouvre la porte. Il me fait rentrer chez lui. Je pose mon sac dans le salon. La victime m’interroge sur mon sac. Je l’embrasse pour ne pas répondre. Il commence à me déshabiller. Je me laisse faire. Il se déshabille aussi. Il me caresse et commence à me sucer. Je reprends les choses en main. On va dans la cuisine. Il sort la chantilly et de la nourriture. Il me met de la chantilly sur moi. Il recommence à me sucer. Je suis existé. Je suis même un peu trop existé. Je dois me calmé toute de suite. Je reprends encore les choses en main. On se dirige dans la salle de bain. Je le mets dans la baignoire et je pisse sur lui. Je le domine comme sa. Je suis le male dominant. Ma victime est sous ma domination. Je décide de passé dans la chambre. Je ne veux pas le regarder alors je le mets à quatre pates. Il faut que je bande alors je me motive. Il ne doit pas voir que je suis impuissant. Ma victime s’impatiente. Il me met la pression. Alors je commence à l’étrangler. Il essaie de se libère mais je suis le male dominant alors je suis le plus fort. Il ne bouge plus. Je commence à bander dur. Alors je le sodomise. Je suis le plus fort. Il faut que je me dépêche. Je dois préparer mon rituel. Je sors le corps de ma deuxième victime. Je le mets dans l’armoire. Je découpe la tête, les jambes et les bras de la victime numéro 3. J’applique le sperme de la victime numéro 1 sur le torse de la victime numéro 2.Je met la tête sur le bureau et les bras sur le lit. Je me sens bien. Je dois effacer mes empreintes partout. J’ai fini. Je regarde mon œuvre. Je suis content de moi.

 

Mon téléphone saune.

 

-          Oui quoi ?

-          Franck désolé de te déranger mais numéro 12 a localisé Alex.

-          Bien. Il vient quand nous voir ?

-          Il sera la dans une heure. Numéro 12 est parti le chercher.

-          Seul sans renfort ?

-          Oui pourquoi ?

-          C’est peu être le tueur en série.

-          Je l’appelle tous de suite et j’envoie numéro 5 et 6.

-          Fais le tous de suite et rappelle moi.

 

J’en sais un peu plus sur le tueur. Je comprends sa logique. Mon téléphone saune.

 

-          Alors ?

-          Elle va bien. Elle est sur le chemin du retour avec Alex.

-          Bien, j’arrive alors.

-          Le labo nous a envoyé les conclusions.

-          Et elle dise quoi ?

-          Que la victime numéro 1 a disparu depuis les troubles.

-          Donc on peu supposer qu’il est mort alors. Je rentre.

 

A suivre …

Par alex35 - Publié dans : histoire gay
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Lundi 14 juin 1 14 /06 /Juin 15:13

Je décroche ou je ne décroche pas. Je ne vais pas le faire patienté plus longtemps. Je décide de décrocher.

 

-          Allo ?

-          Superbe prestation.

-          De rien. Je suppose que je parle à Jack le Gay.

-          Vous avez gagner monsieur l’inspecteur.

-          Vous voulez quoi ?

-          Que vous dite que je ne suis pas malade.

-          Et vous étiez quoi alors ?

-          Je suis un artiste.

-          Un artiste. J’aurai tous entendu.

-          Mes œuvres vont rentrés au beau art.

-          Bien surs et quoi d’autres monsieur Jack le Gay.

-          Je veux vous voir aussi.

-          Quand et ou ?

-          Demain soir à notre endroit habituel.

 

Il raccroche. J’appelle tous de suite mon collègue.

 

-          Tu ne dors jamais Franck ?

-          Non, tu n’as pas vus ma conférence de presse.

-          Non, j’étais occupés ailleurs et alors ?

-          J’ai eu le coup de fils de Jack le Gay.

-          Et tu as enregistrés la conversation ?

-          Non, je n’ai pas eu le temps. Il veut que je le rejoigne dans notre endroit habituel. Tu connais notre endroit habituel ?

-          Je ne souviens d’un nom d’un bar.

-          Oui et c’est quoi ?

-          Le « Le Réseau ».

-          C’est quoi ce bar ?

-          Je ne sais pas demande aux numéros 5 ou 6.

-          Je leur demanderai. Je te laisse dormir et retourne voir ta femme.

-          Je ne peux rien te cacher.

 

Il raccroche. Je décide de rentrer chez moi et de me reposer un peu. Je n’ai pas grand chemin à faire. Je me demande pourquoi le ministre n’a pas encore téléphoné. Je verrai sa demain. Putain, je viens de me rappeler que je dois passer aux labos. Sa va attendre un peu. J’ai besoin d’être seul la. J’arrive enfin chez moi. Le ménage va attendre encore. J’ai envi de prendre un bon bain. Je fais couler l’eau. Je me déshabille. J’ai toujours ces cicatrices sur mon buste. Il faut que je me rappelle quand même. Je me glice dans l’eau. Je me laisse porter par l’eau. Mes yeux se ferment tous seul. Je me sens partir dans un autre monde. Je me laisse flotté dans se monde. Je suis dans une boite. La musique est trop forte. Il y a beaucoup de monde. Je recherche quelle qu’un. Plusieurs hommes se retournent à mon passage. Je me regarde dans un miroir. Je suis en pantalon moulant et un haut moulant. Je le cherche partout quand j’entends des cris dans la boite. Je sursaute. Je suis réveiller par l’au froide de mon bain. Je sors. Je m’essuie et je vais dans mon lit. Et je m’endors sans problème.

 

Je me réveille sans problème. Je prends vite mon petit déjeuné et je file au bureau. Tout le monde est déjà arrivé. Mon assistant me donne les journaux.

 

-          Franck tu as fais fort hier. Dis mon assistant.

-          Je me suis bien amusé. Bon, on a quoi la ?

-          L’hôpital a appelé hier. Notre suicidé est dans un coma irréversible.

-          Donc rien de bien. Se soir j’aurai besoin de numéro 5 et 6.

-          On sera la Franck. Dis numéro 6.

-          Franck quelle qu’un t’attend dans ton bureau. Dis mon assistant.

 

Je vais dans mon bureau. L’homme se lève et je me verse un café.

 

-          Vous voulez quoi ?

-          Je suis le ministre de l’intérieur.

-          Oui et ?

-          Je veux des résultats sur votre affaire.

-          Comme tous le monde. Mais je ne dépends pas de vous.

-          Maintenant si. Votre conférence de presse a mis le feu au poudre. Le monde gay est en ébullition.

-          Et alors ?

-          Je ne veux pas une deuxième révolution. Vous avez 2 semaines pour résoudre ce crime. Après, on prendra en charge cette enquête.

-          Comme vous voulez. Deux semaines, sa va être cours.

-          Pourquoi ?

-          Je vais avoir les résultats de certain examen que dans deux semaines.

-          Vous avez un labo à votre disposition.

-          Merci Monsieur le Ministre.

-          Je vous rappelle que dans deux semaines, je vous reprends votre affaire.

-          Je le sais. Au revoir monsieur le ministre.

 

Je sors de mon bureau.

 

-          Je veux tous savoir sur les victimes de Jack le Gay Je veux le savoir tous de suite. Je veux aussi que l’on s’intéresse à Alex 35.

-          Bien Franck.

 

Tout le monde se met au travail. Je vais dans mon bureau.

 

A suivre…

Par alex35 - Publié dans : histoire gay - Communauté : Histoire, video, photo
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Vendredi 14 mai 5 14 /05 /Mai 19:12

 

L’histoire d’Alex est bien plus sombre que les autres. Pourquoi il a choisi de faire une histoire policière. Je lui toute son histoire. J’ai comme une impression de déjà vue. Je ne vois dans son histoire. Il a décris le meurtre d’un gay avec une telle précision que j’ai l’impression de le vivre. Mais le plus troublent, c’est le meurtre en lui-même. Il ressemble au neutre de Jack le Gay. J’en parlerai demain à mon assistant. Mais la, je vais affronter la presse mais avant je vais passer un petit coup de fil. Une sonnerie, deux sonneries, trois sonneries, j’espère qu’il est encore au bureau. Il décroche enfin.

 

-          Bonjour monsieur le ministre.

-          Bonjour Franck. Tu as mis longtemps avant de me téléphoner.

-          J’ai une vie après le travail. Merci pour votre cadeau.

-          Quel cadeau ?

-          Je vous remercie pour votre cadeau futur.

-          De rien. Tu vas faire quoi Franck ?

-          Vous verrez bien.

 

Je raccroche. Je laisse le ministre dans l’expectatif. J’adore sa. Je descends voir les journalistes. Je vais bien m’amuser avec eux. J’arrive devant eux. Tous le monde parle en même temps. Je ne parle pas. Il continu toujours à parlé en même temps. Je décide de faire un geste de la main. Tous le monde se calme.

 

-          Je vais faire une déclaration après vous pouvez ne poser tous vos questions. Compris ?

 

La plupart me répond oui.

 

-          Lundi, j’étais appelé sur une scène de crime. La victime a été retrouvée morte dans sa chambre. On a retrouvé un papier dans la gorge de la victime. Sur ce papier, il y avait un mot et ce mot est signé par Jack le Gay. Nous sommes sur différente pistes. Maintenant, je suis à votre disposition.

 

La première question arrive : Comment es mort la victime ?

 

-          Il a été empoisonné. Suivant.

-          Et il vrai que l’on a retrouvé d’autre morceau corps ?

-          Non. (je n’aime pas mentir mais la sa va faire réagir Jack) Qui vous a dis sa ?

-          Mes sources sont secrètes. Dis le journaliste.

-          Bien surs. Suivant ?

-          Avais-vous assez de moyen pour cette enquête ?

-          Oui et non. Mon ministre m’a bien envoyé quatre personnes de plus.

-          Alors vous avez les moyens.

-          En homme oui.

-          Mais le matériel ?

-          Non. J’attends toujours des résultats et des labos.

-          Vous voulez dire que votre enquête pourra dépendre des moyens mis à votre disposition.

-          Vous avez tous compris.

-          Vous avez identifié la victime ?

-          Oui mais je vous le dirai pas. Je dois respecter la volonté de la famille.

-          Il parait que vous serai sur la trace de Jack le Gay.

-          Non, pas encore. J’en suis loin. Je n’arrive pas à entré dans sa tête de malade.

-          Vous voulez dire que Jack le Gay est un malade mentale.

-          Oui. Il faut être fou pour tué un homme et pour devenir un tueur de gay.

-          Et pourquoi il tue que des gays ?

-          Peu être qu’il a eu une mauvaise relation sexuelle avec un homme.

-          Vous en êtes sur ?

-          Non, il peut avoir d’autre raison encore.

-          Lesquelles ?

-          C’est peu être un homo refoulé. Ou s’a peu être aussi un hétéro qui n’assume pas ces tendances gay. Et je peu continué comme sa encore longtemps.

-          Vous allez bientôt arrêter Jack le Gay ?

-          J’ai déjà répondu à sa. Peu être que c’est un copier. L’original a disparu.

-          Vous croyez que ces un copier ?

-          C’est une hypothèse. Vous avez d’autre question ?

 

Personne ne parle. Je mets fin à la conférence de presse. Je retourne à mon bureau. Mon téléphone sonne.

 

A suivre …

Par alex35 - Publié dans : histoire gay
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Mardi 11 mai 2 11 /05 /Mai 16:32

On arrive chez mon assistant. Sa femme m’accueille avec un grand sourire.

 

-          Bonjour Franck. S’a fais longtemps ?

-          Bonjour, je ne sais pas. Peu être 1 mois.

-          Oui peu être. Passé à table.

 

On ne discute pas et on passe à table. Je me rappelle qu’il ne faut pas contrarier sa femme. Comme on dit souvent : il ne faut pas réveiller le dragon qui dort. En tous cas, sa femme cuisine très bien. La télé est en route. Sa femme a laissé la chaine des informations. J’ai entendu mon nom aux informations. Je demande à sa femme de monté le son. Un speaker lit une dépêche.

 

-«Information viens de tombé. Jack le Gay est de retour. Le milieu gay tremble. Que fais la police. Demande un responsable du réseau gay. Le ministre des affaires gay ne s’expriment pas sur se sujet. Il nous renvoi au département de la police chargé de cette affaire. Vous en serez plus dans 20 minutes»

 

Je demande de baissé le son de la télé. Mon assistant réagit vite.

 

-          Le salaud.

-          Pourquoi tu dis sa papa ? demande son fils.

-          Rien. Va jouer.

-          Bien papa.

-          Il n’a pas perdu de temps le ministre.

-          Pourquoi il vous a fait sa ? demande sa femme.

-          Je n’ai pas voulu prendre un de ces préférés. Dis-je.

-          Ce n’est pas juste pour vous. Dis sa femme.

-          Pas grave. Sa va être drôle maintenant.

-          Comment sa drôle maintenant ? demande mon assistant.

-          On va avoir droit à des appelles de dérangés.

-          Et sa t’amuse sa ? demande sa femme.

-          Oui, mais on pourra demander de l’argent au ministre.

-          Il ne pourra pas nous refuser sa maintenant. Dis mon assistant.

-          Si je te connais pas Franck, je dirai que tu l’as fais exprès. Dis sa femme.

-          Moi, tu me prends pour qui.

 

Et on rigole tous ensemble. Je mange le dessert et je l’ai quitte. Je fais quoi. Soit je vais dans mon service ou soit je vais au «GAYMARIN». Je vais dans mon bureau. Le sexe va devoir attendre encore un peu. Je prends la direction de mon bureau quand je vois une foule de journaliste qui doit attendre devant mon bureau. Dommage, qu’il n’a pas de porte dérobé. Je vais devoir les affrontés ou alors joué au journaliste. Je me glisse entre les journalistes. Personne me remarque ma présence. J’arrive enfin à la porte de mon service. La, un journaliste m’a enfin aperçu et reconnu. Il se lance tous sur moi mais trop tard. Je referme la porte à clé. Je vais à mon bureau et j’allume mon ordinateur. Je vais surfer un peu sur internet. Je vais sur mon site préféré «Alex35». Je commence à regarder des vidéos quand j’arrive sur une histoire étrange.

 

A suivre …

Par alex35 - Publié dans : histoire gay
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