-          Pourquoi intéressent ? Dis-je.

-          Donc la rumeur disait vrai.

-          Ouais. Mais je croyais que ne vous m’écoutais pas les rumeurs.

-          Si, je les écoute. J’apprends plein de chose. D’ailleurs, j’ai mon colloque qui est célibataire.

-          Oui et alors ?

-          Il peut t’intéressé.

-          Je n’ai pas l’esprit à sa. J’ai mon fils à élevé et j’ai cette école à faire tournée.

-          Baliverne. Vous pouvez sortir sa vous ne ferez pas de mal.

-          Je n’ai pas le temps.

-          Mais si. D’ailleurs, il se passe quelle que chose dans un bar gay. Il faut aller voir sa.

-          Mais comment tu sais tous sa ?

-          J’écoute tous se que l’on veut me dire.

-          J’enverrai quelle qu’un la bas ?

-          Non, tu devrais y aller.

-          Pourquoi tu persistes comme sa ?

Il garde le silence.

-          Tu vas répondre maintenant.

-          Non, si vous ne voulez pas aller dans un bar gay alors j’insiste plus.

-          Tu ne m’as pas répondu. Pourquoi ?

-          Mon colloque est gay et fais parti d’une association. En se moment, il me raconte qu’il se passe des choses bizarres dans ce bar.

-          Pourquoi tu ne vas pas la bas ?

-          Je suis connu. Il faut un anonyme.

-          Alors, tu as pensés à moi.

-          Oui.

-          J’irai vérifier. Va me chercher l’élève.

-          Bien.

-          Et ne fais plus sa.

-          Oui.

-          Allez va le chercher.

Il sort de mon bureau. Et je repense au bar. Je téléphone à ma mère. Elle veut bien garder Daniel se soir.

A demain …

Je rentre dans la classe. J’ai 15 élèves dans mon cour.

-          Bonjour, je ne fais plus les présentations. Mais moi, je ne vous connais pas. Alors vous allez vous présenter.

Tous le monde ce présente.

-          Bien. Je commence à vous connaître un peu. Maintenant, vous pouvez poser vos questions.

Un élève lève la main.

-          En quoi consistent les cours ?

-          Je vais vous apprendre à vous transformez et à redevenir humain. Puis pour les élémentaires, je vais leur apprendre à maîtriser leur pouvoir sur les éléments. Il y a une autre question ?

-          Pourquoi vous vous étiez fâché avec les êtres supérieurs ?

-          Bonne question. Il voulait mon fils et moi je ne voulais pas. Mais sa c’est arranger.

-          Combien de démon avait vous battu ?

-          Je les compte plus. Encore des questions ?

-          On aura des devoirs ?

-          Oui, bien surs. Vos notes compteront pour la moitié dans votre moyenne. D’ailleurs, je suis votre garant. Je vous sers de tuteurs pour cette année. Si vous avez un problème venez me voir. Je suis la pour sa. Bien. Maintenant, il est temps que je vous donne votre carnet. Ce carnet servira de carnet de note, de carnet de suivi. On applique aussi des punitions. Sa va des observations au colle en passant par les exclusions temporaires. Je demande une grande discipline et je laisse quand même un peu de liberté. On a un lourd programme. Mais d’abord, il y aura les testes. J’aimerai savoir votre niveau en magie et scolaire. Bon, je vois que sa va bientôt sonner. Je vous libère.

Je fais sortir les étudient et mon assistant rentre dans ma classe.

-          Merlin vous attend dans votre bureau.

-          Il veut quoi encore celui la.

-          Je crois qu’il a besoin de vous.

Je quitte la salle et je me dirige vers mon bureau.

-          Pourquoi cette visite ? Vous devriez être en cours la ?

-          Oui, je sais. Mais j’ai un problème.

-          Oui et quoi ?

-          Avec votre protège.

-          Le quelle ?

-          Celui qui fait apparaître les choses. Il refuse que je lui donne des cours. Et il amuse la galerie.

-          C’est que le premier jour. Sa va se passer.

-          Je ne le crois pas. C’est un imbécile.

-          Je m’en charge. Je vais lui parler. Et arrêt de traiter les élèves d’imbéciles.

-          Comme vous voulez.

Il quitte mon bureau. Je me retrouve seul avec mon assistant.

-          Convoquez-moi cette élève.

-          Bien monsieur.

-          Arrêtez-moi de m’appeler Monsieur. Appelez-moi Franck.

-          Bien. Franck, il y a une rumeur qui court ?

-          Oui, laquelle ?

-          Vous seriez homosexuelle ?

-          Oui, elle est vrai et alors sa change quelle que chose ?

-          Non. Mais c’est intéressent.

A demain….

Je rentre dans mon bureau avec mon fils et mon assistant. Je vois quelle qu’un assis dans mon fauteuil.

-          Qui êtes vous ? Demandais-je.

-          Je suis un des supérieurs de Stan.

-          Vous n’avez pas votre place ici. Partes de mon fauteuil maintenant.

-          Non, je ne partirai pas maintenant.

-          Alors, je te ferai partir. Dis-je.

-          Non, tu ne feras rien.

-          Et pourquoi je ne ferai rien ?

-          J’ai un marché à conclure avec toi.

-          Et c’est quoi le marché ?

-          Je te laisse ton fils si tu ne nous déclare pas la guerre.

-          Et c’est tous ? Dis-je.

-          Oui, je trouve que l’on te propose déjà beaucoup.

-          Pas assez. Moi, je propose que vous laissiez mon fils tranquille et mon école. Et c’est non négociable.

-          Il faut que l’on réfléchisse à votre offre.

-          Fait vite. J’ai plus le temps de réfléchir.

L’être supérieur part et je me retourne vers mon assistant.

-          Vous pensez quoi de leur offre ?

-          Vous avez bien fais de demander plus.

-          Oui, bon. Il faut s’occuper de Merlin. Il commence à faire sa Diva. Et j’ai peur qu’il fasse l’espion pour les puissances supérieures.

-          Je ne pense pas. Il sort peu être avec Stan mais il n’aime pas les puissances supérieures.

-          Comment vous savez tous sa ?

-          Je me suis renseigné sur tous le monde. Et j’ai un dossier sur tout le monde.

-          Intéressent. Je liserai bien vos dossiers.

-          Oui, vous l’aurez sur le bureau.

-          Bon. Je peu avoir mon discours.

-          Il est sur votre bureau.

-          Bien. Prépare-toi pour le lancement de l’école.

Je quitte mon bureau et je me dirige vers la salle du discours.

A demain…