Le blog de alex35

J’ouvre la lettre. Il y a juste deux mots.

 

«Téléphonez-moi»

 

Je demande le numéro de téléphone à mon assistant. Il me le donne. J’arrive à joindre le ministre.

 

-          Bonjour, monsieur le ministre.

-          Bonjour Franck.

-          Pourquoi je devais vous téléphoner ?

-          Je vous envoie un professeur de science.

-          Oui, je le sais. Merci encore pour votre aide.

-          De rien. Mais pour le reste Franck tu peu m’ouvrir ton esprit.

-          Oui, mais pourquoi ?

-          Vous allez voir. Raccrochez maintenant.

 

J’ouvre mon esprit et j’entends la voix du ministre.

 

-          Je l’ai envoyé pour qu’il vous aide à démasquer un traitre.

-          Il y a un traitre dans mon académie ?

-          Oui. Je l’ai appris qu’hier.

-          Bien. Et il va faire comment pour le découvrir ?

-          Il vous le dira assez vite.

-          Bien. J’ai un doute sur mon assistant.

-          Je vous l’ai envoyé pour qu’il vous aide. Je vous rappelle vite.

-          Bien monsieur le ministre.

 

Il coupe le lien télépathique. Mon assistant rentre dans mon bureau.

 

-          Tu peux frapper avant d’entrer.

-          Désoler monsieur.

-          Pourquoi tu veux me voir.

-          Le professeur de science est arrivé et il veut vous voir.

-          Qu’il rentre. Et maintenant, tu peux partir.

-          Oui, monsieur.

 

Il fait rentrer le professeur de science.

 

-          Bonjour Monsieur le directeur.

-          Appelez-moi Franck. Mais j’oublie la politesse. Bonjour. Quelle est votre prénom ?

-          Désolé, je m’appelle Alex.

-          Vous deviez m’expliquer pourquoi vous êtez la ?

-          Je vous le dirai plus tard. Mais la, je ne peux pas.

-          Si vous le dites. Je dois partir pour une mission.

-          Oui, dans un bar et sauna gay.

-          Comment tu le sais ?

-          Je peu lire dans les esprits. Mais le tiens est très difficile à lire.

-          Je ne dirai rien. Mais ne refais plus sa. Je dois partir maintenant.

-          Je dois vous accompagner.

-          Mais …

-          Vous n’avez pas le choix.

 

A demain…