Le blog de alex35
Mon assistant fait rentrer l’élève dans mon bureau. Je le fais asseoir.
- Tu sais que je t’ai délivré d’un démon.
- Oui, je sais.
- Je t’ai fais rentrer dans cette école.
- Oui, je sais.
- Alors, il se passe quoi la ?
- Rien.
- Tu en ai sur.
- Oui. J’ai rien fais encore.
- Bizarre, que tu utilise le mot encore.
- Je jure que j’ai rien fais.
- Ne jure pas. Tu ai sur que tu as rien fais.
- Oui, je crois bien.
- Ton premier cours c’est passer comment ?
- Bien. Mais Merlin est un idiot.
- Pourquoi tu dis sa ?
- Il ne supporte pas que je suis plus puissant que lui.
- On y arrive enfin. Tu aurais aminé le cours de Merlin. Il n’a pas apprécié.
- Je m’en doute. C’est qu’un vieux grigou.
- Sa suffit. (Je hausse la voix). Tu arrêtes sa maintenant. Je te prends sous ma charge. Tu suivras toujours les cours de Merlin mais je suis ton responsable. J’espère que j’entendrai plus parler de toi maintenant.
- Oui. Je serai sage maintenant.
- Bien. Retourne en cours. Et je veux plus te voir.
- Oui.
L’élève est sorti de mon bureau. J’appelle mon assistant.
- J’arrive dans deux minutes.
- Pourquoi aussi longtemps ?
- J’ai une chose à terminer.
- J’ai besoin de toi tous de suite.
Il arrive enfin à mon bureau.
- Oui c’est pour quoi ?
- J’irai se soir au bar gay.
- Ce n’est pas qu’un bar gay. C’est aussi un sauna.
- Tu as encore une chose à me dire encore.
- Non, pas à se sujet.
- Bien. Alors, j’irai là-bas.
- J’ai une mission à te confier un peu personnelle.
- Oui quoi ?
- J’ai besoin que tu me trouve un appartement ou une maison en location pas trop cher.
- Combien vous pouvez mettre dans le loyer ?
- Jusqu'à 400 euros.
- Je verrai se que je peu faire. J’ai reçu un courrier de l’éducation national.
- Il dit quoi ce courrier ?
- Il nous informe que l’on a l’agrégation et qu’il nous envoi un professeur de science.
- C’est très bien.
- Il y a un courrier personnel pour vous du ministre.
- Pourquoi il n’est pas sur mon bureau ?
- Il est marqué à remettre en main propre.
- Alors, donne la moi maintenant.
Je lui fais signe de quitter mon bureau et j’ouvre la lettre.
A demain…