Il stoppe tous.

-          Ce n’est pas possible. Dis Alex.

-          Je vais voir se qui se passe. Ne bouge pas.

-          Non, je te quitte plus.

-          Et si c’est le démon du plaisir qui est revenu ? Demandais-je.

-          Non, ce n’est pas possible.

-          Si tu le dis. Mais il faut calmer les gens et les faire sortir. Dis-je.

-          Je m’en occupe.

Il fait évacuer les hommes. Moi, j’essaie de trouver le démon. Je me concentre et je le trouve. Je me dirige vers l’espace noir. Je sens une présence maléfique. J’utilise mon pouvoir sur le feu pour m’éclairer. La présence maléfique se rapproche de plus en plus de moi. Je le sens mais je ne le vois pas. Il est ou ? J’entends un bruit. Je l’élève ma tête et je découvre une scène horrible. Un démon entrain de sucé le sperme de l’homme. Il est entrain de le vidé. Je l’ai déjà vue l’homme. Il me semblait costaux. Mais la, il est maigre. Il doit aspirer sa force vitale. Il faut que je le libère. Je lance une rafale de vent. Sa le fait juste bougé. Si c’est un suceur de vie, je peu être le détruire en lui envoyant une boule de feu. Je me concentre et je lance une boule de feu. Le démon est surpris. Il lâche l’homme. J’essaie de le rattrapé. J’utilise mon pouvoir sur le vent pour arrêter sa chute. Pendant ce temps la, le démon essaie de m’attaquer par derrière. Il a eu tort. Mon clone du feu apparaît et crée un mur de feu. Le démon est surpris mais il ne peut pas l’éviter. Il est entrain de brulé quand Alex me rejoint.

-          Tu ai en double maintenant ? Me demanda Alex.

-          Oui en autre. C’est comme un vampire mais s’a ne ressemble pas à un vampire.

-          En tous cas, il est mort.

On regarde le démon se transformé en poussière.

-          C’est quand même bizarre que deux démons se retrouvent dans ce lieu. Dis-je.

-          Oui, mais la je n’ai pas envie de parlé démon. On fait comment pour effacer toute trace de leur passage.

-          J’ai la formule qu’il faut.

Je récite la formule.

-          On fait quoi maintenant ? Dis-je.

-          On fini se que l’on a commencé.

A demain …