Mon assistant m’aide à faire le planning. Je le trouve très bien. Il faut que l’on s’adapte aux élèves. J’ai fini mon discours. Je le donne à mon assistant pour qu’il le lise et le corrige. Je dois régler un problème. Je dois avoir l’agrégation du ministère de l’éducation national. Pour cela, j’ai rendez vous se soir avec le ministre. J’ai eu le rendez vous avec un de mes représentant. Je dois y aller maintenant. Mais, je ne sais pas qui va garder mon fils. Mon assistant frappe à la porte.

-          Monsieur vous allez être en retard pour votre rendez vous avec le ministre.

-          Oui, je sais. Mais je ne sais pas qui pourrai garder mon fils.

-          Je vous le garderai.

-          Vous n’étiez pas obliger. Et puis garder mon fils peut être dangereux.

-          Je resterai ici. Mais moi aussi, j’ai des pouvoirs.

-          Bon d’accord. Il dort. Tous est dans le sac. Il devra prendre bientôt son biberon.

-          Oui, monsieur. Je sais m’occuper d’un bébé. Vous devriez partir maintenant.

-          Oui. Heureusement que je peu ne transformer en vent.

J’embrasse mon fils et je me transforme en vent. Je ne mets que 20 minutes pour arriver à Paris. Je reprends forme et je vais à mon rendez vous. Je passe la premier secrétaire et j’arrive enfin au ministre.

-          Bonjour Monsieur le ministre. Dis-je.

-          Bonjour Monsieur le directeur. Directeur de quelle structure ?

-          Oui, désoler j’ai oublié de dire le nom de mon établissement. Mon établissement s’appelle ISIS.

-          Comme la déesse égyptienne ? Me demanda le ministre.

-          Oui, mon établissement comporte tous les niveaux de la scolarité. Mais pour qu’il ouvre il faut que j’aie votre autorisation.

-          J’ai compris. Heureusement que l’on a dans se monde un sorcier puissant.

-          Vous vous faite erreurs. Je ne suis pas sorcier. Dis-je.

-          Je suis sorcier aussi. Je dois vous dire merci pour ce que vous avez fais. Je vous donne votre agrégation.

-          Merci Monsieur le ministre.

-          Non, merci à vous et je vous soutiendrai. Je suis acquis à votre cause.

Je le quitte et je rentre retrouver mon bébé. Je retrouve mon bureau dévasté.