Partager l'article ! Nouvelle rubrique : Témoignage.: Je commence cette nouvelle rublique par le témoignage de patissier. C'est un fidelle lecteur. Il va vous raconter s ...
Novembre 2024 | ||||||||||
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J’avais 30 ans et j’étais marié depuis presque 5 ans.
Un marié heureux et très amoureux de sa très belle femme que j’avais eu la chance d’initier à l’amour physique et qui était devenue une maitresse hors pair …
Nous envisagions de faire un enfant « à nous » car j’étais déjà papa d’un garçon prénommé CARLOS.
J’avais été père à 19 ans 1/2. Une histoire compliquée qui m’a plongé pendant plusieurs années dans la dépression et la débauche d’alcool, de sexe et autres.
C’est ma femme qui m’a sorti de cet « enfer », m’a poussé dans mes études, la réussite à tous mes examens et surtout fait renoué avec mon "ex." pour que mon fils apprenne à me connaître et m’apprécier.
Aujourd’hui tout va bien, mon fils ainé et moi sommes très liés et complices (il a 14 ans).
Vers 30 ans donc, malgré tout ce bonheur, je sentais bien que des idées cheminaient en moi.
Je mâtais les mecs.
Sur la plage ce sont les bosses des slips de bain qui m’attiraient.
J’ai toujours pratiqué des sports.
A cet âge j’avais arrêté le foot mais pratiquais intensément le tennis, le ski, la planche à voile et la musculation « d’entretien » (pas la gonflette).
Dans les vestiaires et sous la douche mon regard était « bloqué » sur les bites, les couilles des hommes.
A coté de certaines, la mienne paraissait petite alors que je n’ai pas à me plaindre.
Je devais partir rapidement car il m’arrivait d’avoir des débuts d’érections.
J’étais assez déboussolé mais il était évident que cette partie de ma personnalité enfouie depuis l’adolescence sortait au grand jour : j’avais envie d’un homme dans mon lit.
Il fallait que j’essaye.
Je cherchais sur INTERNET car je m’imaginais mal allant draguer « en direct ».
Je tombais par hasard sur le site « MA QUEUE » (j’y suis toujours mais n’y suis plus allé depuis 1 ans je pense) et je m’inscrivis.
Je pris des photos intimes mettant en valeur mes « attributs ».
Je n’y suis pas allé par 4 chemins pour expliquer ce que je voulais.
Cela devais ressembler à :
« Homme viril, pas trop mal foutu, très poilu, anus100 % vierge cherche un dépuceleur – si possible bien monté – à qui offrir mon cul. Me contacter par MAIL avec photos ».
J’ai eu une avalanche de propositions, certaines très farfelues où l’on me proposait de m’initier à plusieurs, de m’attacher, etc.
J’ai retenu 10 hommes qui m’ont communiqué leur numéro de téléphone.
J’ai beaucoup discuté avec eux.
J’hésitais, j’avais envie et la trouille (vraiment !).
Je finis par choisir un « réunionnais » qui avait beaucoup d’humour et cet accent chantant si typique.
Il m’a mis en confiance en disant qu’il était doux et patient et que ce serait un honneur pour lui de dépuceler pour la première fois de sa vie un homme.
Il était BI. Je préférais.
Un seul gros problème qui m’a fait hésiter longtemps avant de « le choisir ».
Il était monté comme un âne : 26 cm et épais comme une cannette de Coca. Un monstre entre les cuisses.
Je me disais que j’étais fou de l’avoir « élu ».
Le jour « J » arriva.
Ma femme était partie 3 jours dans sa famille à Marseille.
J’avais réservé une chambre d’hôtel à la sortie de Nice pour éviter de rencontrer des connaissances.
J’y allais, je prenais une douche et j’attendais en boxer et T.SHIRT …
Vers 19 h on tapa à ma porte. Je ne savais plus où j’étais et hésitais pour ouvrir …
Il entra.
Il était encore plus beau que je ne pensais.
Plus grand que moi (j’avoisine 1.90), les cheveux très courts, un sourire ravageur.
Il portait un T.SHIRT blanc moulant qui mettait en valeur ses incroyables pectoraux et un pantacourt en jean bien bombé sur le devant, des tongs en cuir.
Je tremblais réellement. Je devais être ridicule ….
Il me tendit la main et se présenta.
Il comprit vite que j’étais tétanisé.
Il se mit torse nu, s’approcha et m’embrassa rapidement avant de me dire :
« laisse toi faire, n’ai pas peur, je suis patient et j’ai tout ce qu’il faut avec moi ».
Il sortit effectivement de son sac des préservatifs taille XXL, du gel, de l’huile essentielle de massage.
Il me demanda de m’allonger sur le ventre et de retirer mon T.SHIRT.
Il enduit mon dos et mes jambes d’huile et commença à me masser.
Génial (j’appris qu’il était KINE spécialisé dans les "manipulations" de sportifs).
Je me détendais sous l’agilité de ses mains, les yeux fermés et … une énorme érection entre les cuisses !
Il me dit de me tourner … sur le dos.
Je le fis sans réfléchir, mon gland et une partie de mon sexe dépassant largement du carcan de mon sous-vêtement.
J’ouvrais les yeux alors qu’il souriait et commençait à malaxer mon torse poilu.
« Une véritable fourrure, douce et dense me dit-il ». Je m’aperçu qu’il avait déboutonné son pantalon.
C’était vraiment énorme ce qui émergeait de son jean.
Je n’avais jamais vu cela sauf en photo.
J’avais les yeux écarquillés et je lui dis : « je crois que je ne pourrais pas, désoler, on arrête tout ».
C’était sans compter sur l’état d’excitation dans lequel il était.
Je n’avais pas tout vu car il ne bandait pas à 100%.
Moi en tout cas je débandais, affolé. Je voulus me lever.
Il m’en empêcha en me disant « je te répète, laisse moi faire, je vais te donner du plaisir, on prendra le temps qu’il faudra. J’ai trop envie et je ne ferai pas marche arrière. Tu m’as dragué, évalué, étudié pendant 4 semaines et tu m’as choisi. Vas au bout de tes désirs. Je n’arrêterai pas ! ».
J’ai voulu me débattre pour pouvoir partir mais, dans le fond, je n’ai pas fait tant de résistance que cela.
Il avait raison.
Je me suis abandonné à lui, complètement alors que dans le fond il me semblait avoir le désir de le prendre.
Ces premières pensées allaient se confirmées dans mes relations homosexuelles : bien que « versatile » j’allais préférer prendre que me faire prendre…
Il retira mon boxer et me fit mettre à quatre pattes.
Pendant presque une ½ heure il travailla mon anus avec sa langue experte et ses doigts agiles. Il finit par écarter mon trou avec 2 doigts de chacune de ses mains et fourra sa langue à l’intérieur.
Je n’ai pu éviter de pousser un cri de plaisir. A partir de là j’ai « perdu mes sens ».
Il a enduit abondamment mon orifice de gel et a fait de même sur son sexe chapeauté.
J’ai souffert, beaucoup souffert et mordu mon oreiller pour ne pas hurler de douleur.
C’était un bazooka qui voulait me pénétrer.
Pour faire passer son gland il mit plusieurs minutes et ensuite il enfonça une dizaine de centimètres.
Il se mit à me limer de son bout de queue.
« J’ai mal, vraiment mal, cela ne passe pas, arrêtes ».
Il continuait bien sûr, en « grignotant » centimètre par centimètre.
Je n’en pouvais plus, je ne bandais pas, j’étais en sueur, ma mâchoire serrait comme un étau le tissu de mon coussin.
J’étais crispé et épuisé alors que mon « dépucelage » commençait à peine.
Je m’effondrais à plat ventre sur le lit.
Il m’embrassait tendrement sur les épaules et mordillait mes oreilles.
Je sentais tous ses muscles tendus sur mon dos et nos transpirations se mêlaient.
Il rajouta du gel.
Je commençais à apprécier cette torture de plus en plus délicieuse, mon corps se décontractait et acceptait ce sexe si gourmand qui explorait les tréfonds de mon corps.
C’est à ce moment, alors qu’il ressentait probablement tous mes émois, que, n’en pouvant plus de se retenir, de se maitriser, il enfonça d’un coup le reste de son énormité jusqu’à ses couilles qui vinrent percuter les miennes.
Je hurlais.
Un vrai cri qui a du s’entendre plusieurs chambres à coté.
Je le traitais de salaud, de tortionnaire en tournant ma tête dans sa direction alors qu’il pilonnait mon corps à sa disposition.
Il écrasa mes lèvres de sa bouche et entama des va-et-vient.
Cela dura une éternité, probablement plus de 20 minutes et , peu à peu, le feu s’empara de moi.
Le feu du plaisir mêlé à la douleur réelle de mon écartèlement.
Ce n’était plus un trou que je devais avoir mes une caverne béante.
Je sentis ses mouvements s’accélérer. Il donnait de grands coups de reins et son bas ventre claquait sur mes fesses.
Son souffle devenait plus fort.
Il allait jouir.
Il se retira, ôta son préservatif, me retourna sur le dos et dans un gémissement continu éjacula sur mon corps, les premiers jets atteignant mon visage.
La quantité de semence était proportionnelle à ses réservoirs.
J’en avais partout et le sperme coulait sur le lit.
Il ne débandait pas et approcha son gland de ma bouche.
Je tournais la tête et il n’insista pas.
Comment avaler un tel engin ? De plus il était couvert de son liquide et je ne voulais pas en avaler.
Il s’allongea près de moi et je le masturbais vigoureusement pour terminer sa « vidange ».
Puis on s’embrassa longuement.
J’étais bien même si j’avais le cul en feu.
Lui aussi semblait "satisfait".
Je bandais.
Il me fit une fellation incroyable et engloutit mon sexe en entier, pourtant pas si ridicule.
Je me cabrais de frissons.
Un long moment plus tard je tentais de le repousser en lui disant : « je vais jouir ».
Rien à faire, j’explosais dans sa bouche et il me téta littéralement jusqu’à la dernière goute.
Puis il me dit : « Merci de m’avoir offert ton corps et pardonne-moi si je n’ai pas répondu à tes attentes. J’espère malgré tout que tu conserveras un souvenir pas trop négatif de cette soirée qui pour moi sera inoubliable ».
Douche.
Nous sommes allés manger une pizza et je ne l’ai jamais revu même si j’ai quelque part son numéro de téléphone.
Pendant une semaine je n’ai pas pu marcher et m’assoir « normalement ».
Depuis j’ai acquis de l’expérience et mon amant régulier depuis 2 ans est un black monté 26 cm (il est passif - d’accord - mais je l’oblige à « m’honorer » de temps en temps).
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