Je remonte dans ma voiture avec mon assistant.

-          Tu en penses quoi Franck ?

-          C’est un hétéro qui s’amuse avec des hommes.

-          Oui, je pense la même chose. Tu crois qu’il va venir ?

-          Oui, il fera tous pour protéger sa vie privée. Il a peur qu’on débarque chez lui et qu’on pose des questions gênantes à sa femme.

-          Tu dois avoir raison.

Mon assistant continu de roulé. Le reste du trajet se passe dans un silence absolu. On arrive dans mon service. Le téléphone n’arrête pas de sonné. Je décroche.

-          Vous étiez difficile à avoir Franck. Dis le ministre.

-          Désolé Monsieur le ministre. Mais je suis occupé la. Je peux vous rappeler plus tard.

-          Non. J’ai des questions à te poser et j’attends des réponses.

-          Comme vous voulez Monsieur le Ministre. Dis-je.

-          Vous avez fini votre recrutement ?

-          Oui, j’ai quatre autres personnes maintenant dans mon service.

-          C’est bien. Mais pourquoi vous n’avez pas pris le numéro 1 ?

-          Je ne l’aime pas. Il est trop imbu de sa personne.

-          Oui, mais c’est le fils du ministre de l’éducation.

-          Oui et alors ?

-          Tu dois le prendre.

-          Non. Tu me connais bien. Je ne cède jamais au chantage.

-          Comme tu veux. Simon l’enquête sa avance ?

-          Oui, je dois interroger in témoin bientôt et j’attends les résultats ADN.

-          Vous avez un coupable ?

-          Non, c’est encore trop tôt.

-          Dépêchez vous. Je pourrai plus tenir la presse à l’écart longtemps.

-          Vous pouvez lâcher les chiens. Je n’ai pas peur d’eux.

-          Si vous voulez mais demain vous serez harceler par la presse.

-          Je m’en fou. Désolé Monsieur le ministre mais la personne que je dois interroger est arrivé.

-          Au revoir Franck.

Il raccroche. Mon assistant se rapproche de moi.

-          Il voulait quoi le ministre ?

-          Il voulait me faire prendre quelle qu’un.

-          Et comme je te connais tu la renvoyer dans les fleurs.

-          Oui et il n’a pas apprécié. Il m’a menacé de tous dire à la presse.

-          Et alors ?

-          J’ai tenu bon. Maintenant on aura la presse sur le dos.

-          Pas grave. J’aime bien être pris en photo. Numéro 4 a téléphoné.

-          Oui ?

-          Peter vient de quitté sa maison. Il prend la direction de notre service.

-          Bien. Avec un peu de chance, on sera à l’heure pour le dinée de se soir.

-          Oui, j’espère moi aussi.

-          Sa donne quoi les traces d’ADN ?

-          La trace d’urine n’a rien donnée. Le sperme de la troisième victime a donné un nom.

-          Enfin, on avance.

-          Oui, C’est un disparu. Sa famille l’a déclaré disparu depuis 8 mois.

-          Tu as son nom ?

-          Denis PER. Il habitait à 500 mètres du bureau.

-          On ira interroger demain la famille de la victime. Mais pour l’instant, j’ai hâte de parlé avec Peter Live.

A suivre …