Mon bureau est une sorte de cage à poule. Si j’ai bien compris la situation. On a crée ce bureau après la crise. On a même un ministre maintenant. Mon bureau est indépendant. J’ai peu de moyen mais on s’arrange toujours. Généralement, on est deux. Mais la, je dois au moins engager deux personnes de plus. On ne se plaint pas. On fait du bon boulot. Je m’installe devant mon ordi et j’allume mon ordinateur. Je lance internet et je vais sur mon site préféré. J’arrive sur la page d’accueil d’Alex35. Je commence à regard les vidéos. Mon téléphone sonne.

-         Allo.

-         Franck tu travailles tard. Sa donne quoi cette affaire.

-         On est mal monsieur le ministre.

-         Pourquoi ?

-         Jack le Gay est de retour.

-         Non, pas possible. Je t’envoie des renforts des demain.

-         J’allais vous le demandé.

-         Et toi Franck comment tu vas ?

-         J’essaie de faire tous pour me souvenir de mon passé mais je n’arrive pas.

-         Tu vas y arriver. Il faut du repos et pas de stress.

-         Alors, je ne devrai pas travailler. Pourquoi vous m’avez choisi d’ailleurs pour ce poste ?

-         Tu es l’un de nos meilleures lignées. Et tu sais que pour se service, il faut un homme comme toi. Demain, je t’envois des renforts.

-         Je peux choisir mon personnelle et j’aimerai qu’il ne soit pas tous gay et quelle que fille.

-         Je t’accorde tous se que tu veux et tu le sais bien.

-         Oui. J’ai encore beaucoup de travail Monsieur le ministre.

-         Je te laisse Franck. Bon courage.

Je raccroche et je continue de regardé le blog. Tiens, il y a une nouvelle histoire. Je la lis très vite. Et je regarde les commentaires. Bon, je quitte le blog d’Alex35.

-         C’est se que tu fais quand tu ais seul dans le bureau. Dis une voix derrière moi.

-         Qui est la ?

-         C’est moi idiot. Je me retourne et je vois mon assistant.

-         Je me repose un peu avant le travail.

-         Je le sais bien. Je peu t’aidé à te reposer.

-         Non. Je sens quelle que chose entre nous mais je n’arrive pas a savoir quoi.

-         Il n’a rien entre nous. On est juste des très bon amis.

-         Je t’ai dis d’allé te reposer.

-         Oui, mais j’ai envi de t’aider.

-         Va te coucher.

-         C’est un ordre.

-         Oui, c’est un ordre. Bonne nuit et dis bonjour à ta famille.

-         Bon, je te laisse.

Il me quitte et je vais me plongé dans les dossiers des hommes disparus. Je ne vois pas le temps passés. Je me suis endormi sur une pile de dossier. C’est mon assistant qui me réveille avec du café chaud et des croissants.

-         Tu t’ai endormis encore sur tes dossiers.

-   Oui. Mais j’ai l’impression de ne rien faire.

-         On fait beaucoup de chose. Mais on n’est que deux. Bon tu vas arrêter de te prendre la tête et se soir tu manges mange avec nous.

-         Non, je travaillerai tard se soir.

-         Ce n’est pas une invitation mais une obligation.

-   Ah quelle heure ?

-         Vingt heure se soir. Bon, on a reçut le rapport d’autopsie.

A suivre …