-          Non, pas lui. Ce n’est pas possible. Dis mon assistant à voix basse.

-          Tu dis quoi ? Dis-je.

-          J’ai encore quelle que chose. Dis le médecin légiste.

-          Oui quoi ? dis-je.

-          Regarde sur le torse Franck.

-          Il a rien ce torse.

-          Ah oui, j’ai oublié de mettre la bonne lumière.

Il allume une lumière et je vois apparaître un deux sur le torse.

-          Pourquoi un deux ? Dis mon assistant.

-          J’ai une idée. Mais docteur, c’est fais en quoi ?

-          En sperme.

-          De la victime ou du meurtrier ? dis mon assistant.

-          Ni l’un, ni l’autre. Le sperme est d’une autre personne. Le cul de la victime à été sodomisé violement poste mortem. Son pénis a été lavé donc pas de trace ADN.

-          Quoi d’autres ? dis-je.

-          Je n’ai pas encore fini. Mais vous aurez bientôt mon rapport.

-          Merci Docteur. Et je voulais vous dire que je vous soutiens.

-          Merci Docteur.

On le quitte. On passe devant la fonctionnaire qui me lance des éclairs. Je rigole et on quitte la morgue. On prend la direction de notre service. Pendant le trajet mon assistant est trop mué. Alors je décide de le faire parlé.

-          Tu as quoi la ?

-          Je pense au meurtre. Pourquoi le tueur as fait sa ?

-          Pour que l’on sache qu’il est vivant. Mais tu as dis une phrase chez le médecin. C’était quoi ?

-          Rien. Je marmonnais des trucs inutiles.

-          Je n’ai pas tous compris. Mais je crois que tu as dis «Ce n’est pas possible». Pourquoi tu as dis sa ?

-          Tu devrais le savoir. JGAY n’est pas un inconnu. On le connaît sur le nom de Jack le Gay.

-          Non, s’a me dis rien. Je devrai savoir sa.

-          Oui. Tu la poursuivis pendant la crise et tu as perdu la mémoire après.

-          Peu être. On c’est comment il s’appelle Jack le Gay ? Et pourquoi ce nom ?

-          Non pour la premier question et il s’appelle Jack le Gay en mémoire de Jack l’éventreur. Il se dit fils spirituelle de Jack. Mais c’est meurtre ressemble à des boucheries. Et on peut compter au moins trois victimes. Il me reste plus qu’a compté les morts maintenant.

-          Tu ai assez pessimiste. Si je l’ai retrouvé une fois, je peux encore le retrouvé. Et comment je l’ai retrouvé ?

-          Tu me l’as pas dis.

-          On se connaît depuis quand alors ?

-          Tu ne te souviens pas.

-          Non. Rien. On couchait ensemble.

-          Non. Il rigole. Sa te reviendra. Mais la, il nous faut une équipe. A deux, on ne pourra pas tous gérer.

-          J’irai voir le ministre demain. Bon, je te dépose chez toi.

-          Si tu veux. Tu te rappelle ou j’habite ?

-          Oui. Juste à côté du poste de police.

-          Bien. Ta mémoire revient. Et toi, tu vas faire quoi ?

-          Je vais éplucher les dossiers des disparus et des meurtres non élucidés.

-          Tu vas passer la nuit dessus. Je vais t’aidé un peu.

-          Non. Rentre.

-          Comme tu veux.

On arrive devant chez mon assistant. Il descend de la voiture et je vais au bureau.

A suivre …