Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat (Maroc), j'aimais me sentir femelle, pute, me faire baiser par plusieurs élèves ! J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, coulisser, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ». J’aimais sentir leur flot de semence épaisse qui dégoulinait lentement sur mes cuisses pendant la nuit, en laissant de longues traînées laiteuses. Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre, sous mes couvertures et j’attendais après avoir abondamment enduit mon anus avec NIVEA et y introduit 2 ou 3 doigts pour le dilater.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus. J’étais comme une poupée gonflable. Cependant, je les entendais chuchoter doucement : « les gars, ne faisons pas de bruit, baisons-le, chacun son tour, mais sans éveiller les soupçons des autres ! ».
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 20/10/2012 à 16h10
commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 22/10/2012 à 04h34
je n'est jamais dit que ce n'était pas réel ou que je ne te croyait, j'ai employer ce mot simplement pour souligner que ce que tu nous à fais partager était simplement une partit de ta vie, je te conçoit que j'ai peut-être mal empoyer le mot et si m'a réponse t'a blessé j'en suis désolé, c'était involontaire de ma part
J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, coulisser, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ». J’aimais sentir leur flot de semence épaisse qui dégoulinait lentement sur mes cuisses pendant la nuit, en laissant de longues traînées laiteuses.
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre, sous mes couvertures et j’attendais après avoir abondamment enduit mon anus avec NIVEA et y introduit 2 ou 3 doigts pour le dilater.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus. J’étais comme une poupée gonflable. Cependant, je les entendais chuchoter doucement : « les gars, ne faisons pas de bruit, baisons-le, chacun son tour, mais sans éveiller les soupçons des autres ! ».
très jolis anecdocte
je n'est jamais dit que ce n'était pas réel ou que je ne te croyait, j'ai employer ce mot simplement pour souligner que ce que tu nous à fais partager était simplement une partit de ta vie, je te conçoit que j'ai peut-être mal empoyer le mot et si m'a réponse t'a blessé j'en suis désolé, c'était involontaire de ma part
gros bisous à toi !
merci, bise à toi